Je vais le retirer, mais d'après les témoignages – au moins deux – que j'ai recueillis auprès d'entreprises de ma circonscription, s'il est très simple d'avoir un échange direct avec un représentant du service des impôts, il n'est pas possible de rencontrer physiquement le spécialiste de la recherche publique, souvent chercheur lui-même. Cela pose un problème. Il existe une forme de fossé culturel entre les chercheurs qui exercent dans les différents territoires et les experts, qui travaillent souvent à Paris. Entre les uns et les autres, il n'y a pas de contact.
J'aimerais donc qu'en tant que rapporteur général vous approfondissiez cette question.