Je veux rappeler que ces amendements, défendus par des députés appartenant à différents groupes, ont été adoptés par la commission des finances au terme d'un débat sur le sujet.
Le problème de l'artificialisation des sols se pose partout. Le maintien des terres agricoles est une préoccupation que nous partageons tous, chacun de nous souhaite que l'usage de ces terres soit optimal. Cet enjeu ne concerne donc pas uniquement certains territoires ou certaines zones : il est national. En prévoyant une extension du régime d'imposition, ces amendements permettaient d'y répondre de façon pertinente. Je regrette vraiment qu'ils n'aient pas reçu un avis favorable.