Nous aimerions avoir des réponses à ces trois questions que je viens de vous poser, après avoir mis en exergue la contradiction qui existe entre ces mesures et le soutien de l'État à Renault – à certains de ses sites de production, tout au moins. Ce n'est pas le cas du site de Caudan, qui est en train de mourir à petit feu, alors qu'il concourt à la production de pièces métalliques – vous le savez bien, monsieur le président. Il ne bénéficie d'aucune aide et la direction de Renault a même dit qu'il ne l'intéressait plus, ce qui est très mal ressenti par les centaines de salariés qui y travaillent.