Madame la rapporteure, j'ai effectivement suggéré dans mon propos de diminuer les dépenses publiques, car cela me paraît très important. Néanmoins, cette réduction doit s'opérer par des réformes structurelles et non pas par des coupes et des coups de rabot dans certains crédits. Or c'est tout à fait ce que vous faites ici.
Au demeurant, on ne peut pas se satisfaire de la possibilité pour les compagnies d'assurances d'effectuer des provisions et de payer, ainsi, moins d'impôt sur les sociétés. Je ne pense pas que cet argument soit recevable.