Pour en donner un ordre de grandeur, ce seront, pour la France, 56 milliards d'euros qui seront à débourser si nous ne trouvons pas de solution au niveau des ressources propres. Quelles ressources propres ? Je pense évidemment aux géants du numérique mais également aux importations carbonées et à la taxe sur les transactions financières, sujets dont nous avons débattu la semaine dernière à l'occasion de l'examen de plusieurs amendements à notre projet de loi de finances nationale.