Comme vous l'aurez noté, je n'ai pas voulu aborder plus avant la question du Brexit, qui ne manquera pas de faire l'objet de discussions cet après-midi, car je préfère, pour ma part, tourner mon regard vers l'avenir de l'Union : c'est cela qui est en jeu ; c'est à vingt-sept que nous construirons l'avenir des Européens.
J'appelle, dans ce contexte, à valider la proposition du Gouvernement relative au PSR au profit de l'Union européenne, afin de fixer la part française à l'exercice de solidarité internationale auquel nous somme le plus viscéralement attachés : celui de l'intégration européenne.