Dans ma région, le Grand Est, plus précisément dans la circonscription de ma collègue Aina Kuric, l'université de Reims Champagne-Ardenne a bénéficié de près de 100 000 euros pour l'équipement d'un scanner de lames histologiques du plateau technique en imagerie cellulaire et tissulaire, et de 2,6 millions pour l'installation du supercalculateur Romeo, capable d'effectuer 1 milliard d'opérations par seconde.
Enfin, chez moi, à Châlons-en-Champagne, entre autres exemples, la réhabilitation thermique de 109 logements datant des années 1970 a été rendue possible grâce au concours du FEDER, le Fonds européen de développement régional.
Si le temps de parole qui nous est imparti me le permettait, je pourrais ainsi égrener à l'infini la liste des projets cofinancés par les divers programmes européens. Encore une fois, à l'heure où les enjeux environnementaux, sanitaires, économiques, sociaux et diplomatiques constituent autant de défis, à l'intérieur de l'Union comme à ses portes, il nous appartient, en tant que responsables politiques, de rappeler ce que nous devons à l'Europe.