La méthode adoptée par le Gouvernement est également très critiquable : un amendement déposé en séance, que la commission n'a pas examiné et qui porte sur 1,7 milliard d'euros d'autorisations d'engagement, soit un montant presque équivalent à celui des crédits de la mission tout entière ! Ce n'est pas respecter le Parlement que d'agir de la sorte.