Les députés qui se sont exprimés avant moi l'ont dit avec justesse : les territoires ultramarins subissent comme la métropole une crise sanitaire mais, en tant que territoires insulaires, ils connaissent des problèmes particuliers. Ainsi le secteur du tourisme ne va pas bien, tout comme celui de l'agriculture puisqu'il nous est difficile d'exporter nos fruits en cette saison qui aurait pu être florissante et rapporter de l'argent à nos agriculteurs. Pour reprendre l'adage cité par M. Bazin – quand le bâtiment va, tout va – , chez nous le bâtiment ne va pas bien. Nous comptons donc sur une mobilisation de nos collègues pour aider notre économie ultramarine à survivre.