Il est vrai que la mesure proposée est très parisienne, ou du moins très spécifique aux grandes métropoles. Je m'étonne d'ailleurs de cet amendement car, lorsque Guillaume Peltier avait défendu, en 2018, une proposition de loi visant à augmenter le pouvoir d'achat des salariés grâce à la création d'un ticket-carburant, dont le montant pouvait atteindre 200 euros mensuels, la majorité l'avait bien entendu rejetée.
Sur le même sujet, on ne peut pas tenir un discours aux salariés qui travaillent dans les métropoles et un autre à ceux qui vivent, chez nous, dans des territoires ruraux, et qui ont besoin de leur voiture.