Comme les précédents, il vise à supprimer l'obligation de procéder par voie dématérialisée. Je comprends que la dématérialisation devienne progressivement obligatoire et que nous devions travailler en ce sens, mais nous ne pouvons pas ignorer la fracture numérique.
Selon une étude menée par l'association UFC-Que choisir, 6,8 millions de nos concitoyens sont encore privés « d'un accès de qualité minimale à internet ». Nous ne pouvons pas l'oublier. Il faut laisser aux agriculteurs la possibilité de passer par la version papier, plutôt que par la voie dématérialisée, il faut leur laisser le temps.