Je ne vais pas m'étendre sur cet amendement que nous défendons tous les ans : il consiste à réguler l'installation des médecins dans les zones non pourvues. Cette idée est accueillie de plus en plus favorablement par la population face à une situation critique, surtout en cette période de crise sanitaire. Par ailleurs, je souligne que votre décision de supprimer le numerus clausus – mesure qui, à l'époque, n'a pas été présentée comme révolutionnaire, mais simplement pragmatique – n'a eu, à ce jour, aucun des effets escomptés.