En effet, dans les territoires où la crise n'est pas virtuelle, le droit aux vacances n'est pas une réalité. C'est pourquoi Michèle Demessine a créé, lorsqu'elle était secrétaire d'État chargée du tourisme, un dispositif utile pour les populations modestes : l'Association nationale des chèques vacances – ANCV – qui permet aux populations fragilisées, en particulier les seniors, de partir en vacances.
Je soutiens donc cet amendement, qui vise à faire en sorte, grâce à l'octroi d'un accompagnement financier, que le droit à des vacances, non pas aux Bahamas – car cela, il s'agit d'une vue de l'esprit – mais au camping, dans un cadre simple, soit une réalité pour des populations qui en sont aujourd'hui privées.