L'année dernière, c'est vrai, le Parlement avait adopté, en nouvelle lecture, un amendement qui imposait davantage de transparence à l'industrie pharmaceutique. Mme Fiat l'a dit justement, il s'inspirait des propositions de différentes ONG, et il a été censuré par le Conseil constitutionnel parce qu'il tombait comme un cheveu sur la soupe, en nouvelle lecture.
L'amendement no 924 reprenant au mot près celui que nous avions adopté l'année dernière, il n'y a pas de raison de changer d'avis : j'y suis favorable, tout comme au sous-amendement de précision de M. Paul Christophe.