En France, il y a potentiellement 2,4 millions de bénéficiaires « fantômes » de prestations sociales. Les pertes pour l'État sont considérables, même s'il est difficile d'évaluer précisément leur ampleur – on les estime entre 14 et 50 milliards d'euros. La situation est alarmante, et il convient de se donner les moyens de lutter efficacement contre la fraude sociale.