Il vise à modifier l'avant-dernier alinéa du II de l'article 11 de la loi du 11 mai 2020, afin d'étendre le champ de la protection des données personnelles des personnes infectées. Ces données ne pourraient être communiquées à une tierce personne, quelle qu'elle soit, qu'avec l'accord exprès des intéressés. Ce principe ne serait plus cantonné à la situation où les données sont transmises à des cas contacts.