À la fin de l'année 2021, nous aurons créé 67 000 places dans l'enseignement supérieur ; un mouvement sans précédent s'est donc déjà amorcé.
Nous sommes évidemment très attentifs aux souhaits des étudiants et, comme l'a rappelé monsieur le rapporteur spécial, les 500 lycéens qui n'avaient pas trouvé de place dans l'enseignement supérieur ont été accompagnés un par un. Si par hasard il en restait, n'hésitez pas à nous en informer ; nous veillerons à ce que les commissions rectorales prennent contact avec eux pour leur trouver des solutions.
Il est à noter que les régions – car ce sont elles qui pilotent les formations en soins infirmiers, et non l'État – ont pu, grâce aux financements complémentaires apportés par l'État, augmenter le nombre de places offertes par ces instituts. Nous travaillons main dans la main avec elles pour notre jeunesse.
Le plan « un jeune, une solution », ce sont 6,5 milliards d'euros, bien davantage que 150 euros, contrairement à ce que vous avez dit. C'est notamment ce qui permet à nos jeunes de ne pas être pénalisés en cette période ; je pense en particulier à tous ceux qui ont besoin, pour pouvoir continuer leur formation, d'un contrat d'apprentissage.
L'avis est défavorable.