La crise sanitaire a mis en évidence la nécessité d'une coopération entre établissements et entre professionnels, et le manque d'interopérabilité des logiciels est un réel obstacle à cette coopération. Il se traduit en outre par un coût important, notamment pour les établissements publics.
L'amendement vise à conditionner l'affectation des 1,4 milliard d'euros de fonds de financement de transformation à une exigence d'interopérabilité des logiciels.