Ayant rappelé l'importance de l'interopérabilité des logiciels, nous proposons par cet amendement, d'un caractère plus pratique et concret, de donner aux établissements la possibilité de refuser le paiement des logiciels qui ne seraient pas compatibles avec ceux déjà installés. Actuellement, les établissements qui veulent faire évoluer leurs logiciels sont obligés d'en acheter de nouveaux. Lorsqu'ils ne sont pas compatibles, ils doivent payer davantage pour équiper l'ensemble des services de leur hôpital, ce qui représente un coût élevé : il est important de permettre aux établissements de ne pas le supporter.