Les investissements devront être alloués là où ils sont nécessaires, c'est-à-dire aux établissements qui en ont le plus besoin selon des critères objectifs : il n'est pas nécessaire que la loi aille plus loin en définissant une clé de répartition. Ainsi, même si, comme chacun sait, les EHPAD publics sont les plus vétustes, des établissements privés pourront avoir accès à ces financements chaque fois que cela sera nécessaire et pertinent. L'avis est donc défavorable.