Je n'entre pas dans le débat sur l'opportunité du déploiement de la 5G, ni sur celle d'un moratoire. Mon raisonnement est le même que précédemment : on ne peut pas provisionner un budget pour un hypothétique référendum, qui n'est pas programmé, et dont le déclenchement ne dépend pas, du point de vue constitutionnel, de la seule volonté du Parlement. L'avis est donc défavorable.