Autrefois, les députés avaient le droit de reprendre plus fréquemment la parole. Nous faisons simplement usage de nos droits, qui ont déjà été réduits.
Mon amendement oecuménique est un amendement de paix et d'harmonie puisqu'il vise à réunir des états généraux et à ouvrir le dialogue. Je ne comprends pas qu'il suscite de telles critiques ; on peut affirmer, comme le fait Mme la ministre déléguée, que ces états généraux auraient déjà eu lieu mais je ne le crois pas, ou alors pas dans cet état d'esprit. Je prône une philosophie de la réconciliation car la société française est parcourue de déchirements : il faut se demander comment la raccommoder. Encore une fois, cela n'a pas été fait dans cette démarche, pourtant nécessaire tant pour les policiers que pour la société.