Vous dites, monsieur le rapporteur spécial, que nous ne pouvons pas agir dans ce domaine. Punaise ! Si nous, ici, ne sommes pas capables de relever le salaire des femmes de ménage de l'Assemblée nationale, que pouvons-nous faire ? Si nous ne pouvons pas agir sur ce qui se passe à côté de nous, sur la situation des femmes qui ouvrent la porte tous les matins – je dors dans mon bureau – et qui lavent la douche, que pouvons-nous faire pour le pays ?
Je peux abandonner immédiatement cette série d'amendements si des voix s'élèvent dans la majorité pour qualifier ce combat de juste et le mener à mes côtés, en réclamant avec moi aux questeurs le relèvement des salaires, la fin de la sous-traitance ou l'instauration d'un treizième mois.