La chenille processionnaire du chêne est un insecte nuisible et ravageur du même type biologique que la chenille processionnaire du pin qui fait tout autant de dégâts dans les forêts françaises. La région Grand Est est l'une des plus touchée par cet insecte défoliateur et plusieurs dizaines de milliers d'euros sont mobilisés chaque année pour lutter contre sa prolifération.
L'ONF procède aujourd'hui au remplacement dit « diversifié » des arbres affectés par ces insectes mais nos forêts perdent de leur valeur.
Dans le cadre de la lutte engagée contre les ravages causés par les chenilles processionnaires, l'amendement, de Stéphane Viry vise à relever de 5 millions d'euros les crédits de l'action 26 « Gestion durable de la forêt et développement de la filière bois » du programme 149 « Compétitivité et durabilité de l'agriculture, de l'agroalimentaire, de la forêt, de la pêche et de l'aquaculture ».