Je sais que la situation préoccupe beaucoup d'avocats, mais ce n'est pas à eux seuls qu'incomberont toutes les contreparties : pensons à question de la formation et de son coût. Je ne veux pas qu'on pense, si l'on écoute notre échange – qui me semble de qualité – , que nous allons alourdir le fardeau des avocats. Tel n'est pas le sens de notre démarche. Peut-être « contrepartie » n'est-il pas le mot juste. Que les avocats qui nous écoutent sachent que la réforme se fera pour eux et en leur faveur. Merci, madame la députée, de m'avoir permis de le préciser.