Enfin, il faut de la justice et de la concertation. Entre l'essentiel et le non-essentiel des produits commerciaux, la ligne qui se dessine est celle du doigt mouillé. Depuis l'annonce de leur fermeture administrative jeudi dernier, les commerçants et de nombreux artisans crient à l'injustice et à l'iniquité. Des arrêtés ont été pris ; ils sont bien sûr illégaux mais, surtout, révélateurs du malaise des collectivités locales. Comment, monsieur le Premier ministre, comptez-vous réhabiliter la confiance dans la parole gouvernementale ?