Cette décision m'effraie.
Madame la ministre déléguée, parce que nous croyons que la force de nos territoires, l'ingéniosité de nos commerçants et la bonne volonté de nos concitoyens doivent être associées à la gestion de la crise plutôt que d'en être écartées, nous ne pourrons pas soutenir ce texte donnant au Gouvernement les pleins pouvoirs pour les six prochains mois.