Confusion, illisibilité, impréparation : tels sont les mots qu'utilisent nos compatriotes en nombre croissant sur le terrain à propos des mesures prises pour affronter la deuxième vague. Comment ne pas leur donner raison lorsque la rentrée des classes est d'abord annoncée à dix heures avant d'être remise à huit heures trente ? Comment ne pas leur donner raison lorsque le couvre-feu est annoncé le matin par le porte-parole du Gouvernement puis démenti dans la foulée par le Premier ministre ?