Mes chers collègues, madame la ministre déléguée, s'il vous plaît, ne perdez pas vos nerfs et laissez-moi terminer ma phrase.
Premier point : nous ne vous accusons pas de ne pas être patriotes ou de vouloir couler l'économie française. Ce que nous vous disons – et ce que vous pouvez aisément constater – , c'est que les gens sont perdus,