Madame la présidente, je crois avoir répondu aux interpellations des parlementaires qui voulaient savoir pourquoi je demandais la réserve des votes. Je ne voudrais surtout pas qu'à l'issue de nos débats, nous devions présenter aux Français un texte tellement déstabilisé, tellement déshabillé, que plus personne n'y comprendrait rien – certainement pas, en tout cas, les soignants, les malades et leurs familles.