Monsieur le ministre, je retiens votre engagement d'aborder de façon globale et structurelle ces problèmes qui, bien entendu, ne sont pas exclusivement polynésiens. Avant de retirer cet amendement, je voudrais seulement préciser que s'il portait sur 1 million d'euros, ce n'est évidemment pas parce que Nicole Sanquer ignorait qu'il en aurait fallu davantage, mais parce que, le Parlement étant paralysé par la logique et la technique budgétaires de la Ve République, nous ne pouvions nous permettre qu'un amendement d'appel visant à susciter le débat.