Il est sur la même longueur d'ondes que les autres, mais je souhaite ajouter un mot. Nous vivons une année particulière, M. Fuchs a dit vrai. Tous ceux d'entre nous qui sont impliqués dans les structures de l'emploi, dans les maisons de l'emploi – que l'on pourrait appeler « maisons des entreprises », puisqu'elles font de la GPEC, de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences – , s'investiront dans la mission flash. Cependant, ne serait-il pas plus judicieux d'attendre la fin de l'épidémie de covid-19 ?
Tous les ans, ces maisons de l'emploi pensent qu'elles ne recevront pas suffisamment d'aides et, tous les ans, nous revenons sur ce sujet. Ne ferions-nous pas mieux de leur assurer d'emblée un financement, par exemple pour les deux prochaines années ? La mission flash viendrait ensuite. À l'avenir, il faudrait faire preuve de cette bienveillance, sans quoi nous ne parviendrons jamais à avancer.