Excusez-moi, monsieur le président, mais cet amendement n'a pas été évoqué tout à l'heure par Mme la rapporteure spéciale. Je parle peut-être d'1 million de personnes qui voient leurs droits au chômage dépérir et risquent de passer au RSA. Elles compteront sans doute parmi le million de pauvres supplémentaires que redoutent les associations caritatives. Il me semble que le minimum, là-dessus, c'est d'avoir une réponse du Gouvernement ! Dites-nous pourquoi vous ne prévoyez pas d'année blanche pour les intérimaires. Ce n'est pas qu'un trou dans la raquette, c'est énorme !