Chers collègues, je n'ai aucune difficulté à dire « c'est bien » quand cela me semble bien. C'est aussi le cas de l'académie des métiers du vélo, dont la création a été proposée.
Je trouve tout de même cela insuffisant pour la raison suivante : si nous laissons faire la main invisible du marché, il se trouvera des services de réparation de vélo dans certains endroits et, dans l'intervalle, de vastes espaces en seront dépourvus. Il faut donc structurer ce métier afin qu'il soit pratiqué partout, dans tous les territoires, ruraux et urbains, et non pas seulement là où se trouveraient les moyens de le faire exister. Cela doit passer par le secteur public ou parapublic.