Non, madame la ministre, nous ne sommes pas là pour lancer un débat, ce qui est fait depuis bien longtemps. L'an dernier, nous avons eu exactement les mêmes échanges. Du côté du ministère de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, on nous a assuré que notre amendement était bon et l'on a reconnu la réalité des besoins. On nous a toutefois conseillé de nous adresser au ministère de la culture. Celui-ci a lui aussi constaté les besoins, mais nous a renvoyés au ministère de la recherche. De ce fait, rien ne s'est passé pendant un an.
J'étais persuadée que, grâce aux amendements que nous avions déposés dans le cadre de la LPPR – loi de programmation de la recherche 2021-2030 – , nous avions commencé quelque chose.
Quoi qu'il en soit, nos amendements ne constituent en rien un point de départ. Dans notre esprit, nous pouvions franchir une étape importante. Ces 520 000 euros, j'y croyais vraiment.