J'émets un avis défavorable à cet amendement, mais je remercie Mme Mette de l'avoir déposé. Effectivement, la défense de la francophonie ne doit pas être réservée à une seule chaîne, mais être confiée à l'ensemble des chaînes du service public et, pourquoi pas, de l'audiovisuel privé. Devant le florilège d'expressions anglo-saxonnes qui envahit les médias français, en particulier les chaînes d'information, j'en appelle à une défense ardente de la francophonie – qui n'a d'ailleurs pas besoin d'argent.