Je regrette votre position, madame la secrétaire d'État, pour deux raisons.
Premièrement, tout le monde reconnaît que la territorialisation est un véritable enjeu du plan de relance. Nous devons aller jusqu'au bout mais c'est le dernier kilomètre qui est difficile. Seules cinq des quarante-neuf actions du PIA sont conçues, je le rappelle, dans une perspective d'aménagement du territoire, soit 10 %, c'est quand même peu ! Il y a donc bien là un vrai sujet.
Deuxièmement, en refusant cet amendement, c'est aussi le suivi de la territorialisation que vous refusez, ce qui est vraiment regrettable. J'invite donc mes collègues à prendre en compte le souhait de l'ensemble de nos concitoyens d'un développement qui réduise les inégalités sur l'ensemble du territoire.