… au lendemain de la publication par The Lancet d'une étude qui s'est révélée être une escroquerie. Il m'a chargé de vous demander, monsieur le ministre, pourquoi vous n'avez pas changé d'avis une fois que vous l'avez su ?
Voilà trois questions venues du peuple français et transmises à un parlementaire. Mes chers collègues, pourquoi ce parlementaire, qui représente la nation autant que vous, n'aurait-il pas le droit de les poser au ministre, dans le cadre d'un débat démocratique, dans une période grave ?