Je suis confondu par l'état d'impréparation du Gouvernement et de l'exécutif. Autant en mars, le manque de préparation était compréhensible et excusable, mais vous nous avez dit, dès le départ, qu'il y aurait une deuxième vague. J'imaginais donc que vous alliez préparer son arrivée et envisager des scénarios.
Or nous ne constatons rien de tout cela et nous serons dans l'incertitude dès mi-février. Il faudrait être un peu plus organisé, monsieur le ministre.