Je pointe la responsabilité des élus, de l'État et de toutes les institutions républicaines qui ont fauté dans ce domaine. Nous devons ouvrir les yeux et être capables de voir cette réalité : tout cela n'est pas arrivé par magie. Le Président de la République l'a d'ailleurs reconnu. Je n'accuse pas l'État.
Je vous remercie de votre réponse, madame la ministre déléguée. Si vous expliquez que, le plan n'étant pas tout à fait prêt, nous voterons plus tard les moyens qui y sont associés, je peux l'entendre. C'était précisément la question que je posais : quand débattrons-nous des modalités de financement des actions prévues ? J'ai obtenu la réponse, ce dont je vous remercie – même si nous avons perdu un peu de temps.
Pour le reste, il ne s'agit pas de mettre en cause qui que ce soit. Simplement, si nous ne sommes pas capables de nous dire collectivement les choses, nous ne progresserons jamais.