Venons-en à la dépollution. Si au chapitre de la prévention des risques, les crédits augmentent en raison de la création de deux nouvelles actions visant à renforcer l'INERIS, d'une part, et le fonds de prévention des risques naturels majeurs, d'autre part, une remarque se fait immanquablement jour.
La gestion des sols pollués continue d'être le parent pauvre de l'action « Prévention des risques technologiques et des pollutions », et l'Agence de la transition écologique recevra manifestement encore moins de moyens dans ce domaine.