Les chiffres de ce budget témoignent de notre volonté politique, mais qu'en est-il du chemin que nous traçons, à notre pays, de notre vision ? Aujourd'hui, ce n'est pas une idéologie qu'il nous faut, mais plutôt – je le dis en cette journée gaullienne – une certaine idée de l'écologie, qui nous guide et nous assure de rester toujours sur le chemin que nous sommes en train d'ouvrir.
Quel nom notre programme écologique porte-t-il aujourd'hui, madame la ministre ? Son nom n'est pas punition car, là où certains pratiquent l'écologie punitive – quand il ne s'agit pas d'expéditions punitives ! – nous défendons une écologie de liberté qui incite à la responsabilité économique, à l'innovation scientifique et à l'imagination citoyenne. Son nom n'est pas non plus privation…