Nous avons fait, je le répète, du développement des trains de nuit une priorité politique : à côté de l'investissement massif que nous consacrons depuis 2017 au réseau – 3 milliards par an pendant dix ans – afin de rattraper le sous-investissement chronique, nous consacrons à ces trains 100 millions d'euros dans le plan de relance. Nous nous inspirons des travaux menés dans certains pays européens, notamment l'Autriche qui compte désormais plusieurs dizaines de lignes de trains de nuit et qui développe des modèles économiques assez innovants. Le rapport qui sera remis au Parlement d'ici à la fin de l'année apportera un éclairage sur ces différents modèles et contribuera à une réflexion collective sur l'avenir.
Comme la rapporteure l'a indiqué, vos amendements me semblent satisfaits : demande de retrait ou avis défavorable.