Je vous rappelle que le plan de relance prévoit 200 millions d'euros supplémentaires en faveur du vélo, qui permettront de cofinancer des projets décidés en lien avec les collectivités territoriales – un enjeu important – afin d'aménager et de sécuriser les pistes cyclables, de développer la continuité du réseau – objectif essentiel – et de favoriser l'intermodalité, en reliant notamment les pistes cyclables aux gares routières.
Je ne reviens pas sur les dispositions que nous avons adoptées tous ensemble dans la loi d'orientation des mobilités : le forfait mobilités durables qui encourage l'usage régulier du vélo, l'aide à l'achat d'un vélo à assistance électrique ou encore l'aide à la réparation des vélos. Pour toutes ces raisons, je suis à titre personnel défavorable à ces amendements que la commission des finances n'a pas examinés.