Cet amendement répond à une nécessité absolue, en raison de la date-butoir du 1er janvier 2018 qui s'applique au classement des stations touristiques. De nombreuses communes touristiques ayant déposé des dossiers sans recevoir notification de refus ni d'acceptation, du fait du retard pris par l'examen de ces dossiers, certaines se trouveront confrontées à d'énormes difficultés liées à la perte du classement, ce qui, compte tenu notamment de l'acte II de la loi montagne, a d'autres conséquences relativement graves quant au maintien des offices de tourisme.
L'amendement tend donc à prolonger le délai, afin que les stations touristiques qui ont déjà déposé un dossier et sont dans l'attente d'une réponse ne soient pas victimes du couperet du 1er janvier.