Je comprends bien la philosophie de ces amendements, mais je crois que l'État a démontré, depuis le début de cette crise, qu'il savait être au rendez-vous non seulement dans les aides en direct mais aussi quand les entreprises rencontrent des situations difficiles.
N'imaginez pas que l'État cherche à passer devant tout le monde au moment où il faut régler l'ardoise, quitte à mettre une entreprise en difficulté. Cela ne se passe pas comme cela. Si le droit lui donne certains privilèges de créancier public, l'État se met surtout aux côtés des entreprises, notamment celles qui sont en procédure collective, pour permettre le remboursement de créances aux fournisseurs. Il le fait particulièrement pendant cette crise.
Je n'oserais dire que vos amendements sont satisfaits…