De plus, ces amendements ne coûtent rien au budget de l'État, car en ne procédant pas aux dotations d'amortissement, on augmente le résultat fiscal. Enfin, comme l'a dit notre collègue Bricout, ils permettent d'accroître les fonds propres des entreprises, ce qui améliore leur capacité à emprunter.
À notre proposition, monsieur le rapporteur général, vous nous opposez les prêts participatifs, ou encore la réévaluation des actifs, neutralisée fiscalement. Je vous répondrai d'abord que face à la multitude des situations, nous avons besoin d'une boîte à outils dotée d'un maximum d'instruments.