Si, monsieur Coquerel, je réponds sur le fond – on me reproche même souvent de le faire trop longuement. Arrêtons là ce procès sur la forme, qui ne me semble pas justifié.
Si nous pratiquons un abattement de 40 % sur les dividendes, c'est parce que les bénéfices dont ils sont issus sont déjà imposés à 33 % au titre de l'impôt sur les sociétés. C'est tout.
Cet abattement n'est donc pas un cadeau destiné à ceux qui distribuent des dividendes, mais le miroir…