J'ajoute que nous avons apporté des souplesses aux PGE, notamment la possibilité d'allonger la durée de remboursement et de différer la première échéance, avec l'accord de la Banque de France, car il faut veiller à ce que cela ne se traduise pas par une dégradation de la cotation de l'entreprise concernée.
Par ailleurs, les entreprises qui n'ont pas atteint, avec les PGE qu'elles ont obtenus, le plafond de 25 % du chiffre d'affaires peuvent souscrire de nouveaux PGE jusqu'au 30 janvier prochain.
Nous aurons très certainement à faire face à des difficultés, et des ajustements interviendront. Toutefois, je rejoins le rapporteur général et émets à mon tour un avis défavorable.