Le présent amendement vise à priver d'aides publiques les entreprises qui licencient de façon excessive pendant cette période où l'emploi en particulier et l'économie en général sont fragilisés. On pense à Air France, groupe auquel on a octroyé un prêt de 7 milliards d'euros et qui, peu de temps après, annonce un plan de départs volontaires avec la suppression de 8 000 postes. Comment comprendre qu'on aide une entreprise qui, par ailleurs, licencie ? C'est un non-sens.